« Un tableau haut en couleur proposé par le metteur en scène Thomas Nordlund. La beauté de la langue de Sony Labou Tansi installe une sorte de poésie dans ce massacre annoncé »
« Chapeau ! Un travail à la fois précis et sensible de ce jeune metteur en scène qu'il faudra suivre. »
« Mâtin, quel texte ! On griffonne dans le noir, on essaye d'attraper des bouts. Les douze comédiens de la compagnie Bousculade se déploient… sans se bousculer dans une chorégraphie resserrée, bien conçue, bien exécutée. »